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LYNCH MOB (usa) - George Lynch (Oct-2015)


LYNCH MOB est né suite au départ de George Lynch de DOKKEN, une formation qui lui a permis de s'imposer comme un petit prodige de la six cordes. DOKKEN est un nom qui résonne aux oreilles des vétérans comme un groupe mythique qui a gravé quelques albums qui sont aujourd'hui considérés comme des classiques du Metal US. Lynch est devenu en quelques années un guitare héro vénéré par toute une génération de guitaristes et de fans. Auréolé par le succès de DOKKEN et voulant fuir à tout prix Don Dokken, il forme LYNCH MOB et signe dans la foulée chez Electra une major de l'époque. Désormais seul aux commandes de son vaisseau exit les conflits d'égos avec Don Dokken, le bougre se sent enfin libre pour développer son propre univers musical et règne en maitre absolu ! Il recrute un chanteur d'exception Oni Logan et débauche Mick Brown (batteur de DOKKEN) histoire de rester un peu en famille (Jeff Pilson les rejoindra quelques années plus tard). Ensemble ils enregistrent Wicked Sensation qui demeure aujourd'hui encore un des meilleurs opus de la formation. Deux ans plus tard l'éponyme Lynch Mob sort. Malheureusement, il sera balayé par la vague Grunge qui déferle alors sur les USA et l'Europe malgré des qualités indéniables. La formation n'y résistera pas et disparaitra en 1995 après seulement deux albums au compteur. Les deux évadés de DOKKEN préférant rentrer au bercail illico presto et surfer sur la déferlante Grunge ! La réunion sera de courte durée victime des caractères et des ambitions exacerbés de Lynch et Don Dokken, conflit perpétuel entre deux hommes excessifs qui n'ont jamais réussi à enterrer la hache de guerre. En 1998, George Lynch quittera une fois de plus le navire pour reformer LYNCH MOB avec John West au chant très vite remplacé par Kirk Harper. Une collaboration qui se soldera par un opus de Rap Metal qui déroutera les fans du maestro et se soldera par un échec cuisant et une nouvelle disparition du gang ! Notre guitariste en profitera pour se consacrer à sa carrière solo alignant les cd à la vitesse lumière dans une relative confidentialité voir indifférence malgré la qualité toujours au rendez-vous. Même si le bougre propose des opus parfois déroutants destinés à un public averti il reste au sommet de son art. En 2003, il sera de retour une fois de plus avec LYNCH MOB et proposera REvolution une galette nettement plus Heavy destiné à rassurer les fans qui lui restent encore ! 2008 sera l'année du grand comeback de Oni Logan et soldera par Smoke And Mirrors détonant marquant un virage Heavy/Hard Rock dans la lignée de Wicked Sensation. L'opus fera mouche et lui permettra de reconquérir une bonne partie de ses fidèles qui semblaient pourtant irrémédiablement perdus. Les années suivantes seront marquées par des changements incessants de musiciens qui n'empêcheront pas le combo d'enquiller les dates principalement aux Etats-Unis ! Il faudra attendre 2014 pour que nos bad boys nous gratifient d'un Sun Red Sun excellent et rassurant quand à la santé musicale du génie de la six cordes et de ses acolytes. A peine sortie voilà déjà LYNCH MOB de retour avec un Rebel des plus efficaces et sans surprises mais qui montre que le combo n'a pas dit son denier mot. C'est avec un plaisir non dissimulé que votre serviteur a pu s'entretenir avec une des légendes de la scène US... Un rescapé de plus des eighties en pleine forme et déterminé à défendre coûte que coûte son dernier méfait. Magnéto George, c'est à toi !

Line-up
: Oni Logan (chant), George Lynch (guitare), Sean McNabb (basse), Jimmy D'Anda (batterie)

Discographie : Wicked Sensation (1990), Lynch Mob (1992), Smoke This (1999), Revolution (2003), Evil:Live (2003), REvolution: Live! (2006), Smoke And Mirrors (2009), Sun Red Sun (2014), Rebel (2015)

Traduction / Retranscription : Laurent Machabanski



Metal-Impact. Bonjour George, quel souvenir gardes-tu de ta dernière tournée française à Paris ?
George Lynch. Je crois que c'était avec LYNCH MOB il y a quatre ans. Je ne me souviens plus exactement sur quelle tournée. Il y avait Logan, Crane, Brian Tichy et moi-même.

MI. Comment s'est déroulé le show à Paris ?
George. Je ne m'en souviens pas vraiment car nous n'avons pas eu de retour sur ce concert. Mes souvenirs sont un peu flous. Je me rappelle les fois où nous nous sommes perdus dans Paris. Les tournées en van à travers l'Europe, la langue, la façon de conduire et aussi le fait de lire les panneaux sur les routes. Ce sont des choses comme celles-ci que je mémorise.

MI. Tu as ouvert pour AC/DC au Zénith de Paris en 1988. Te rappelles-tu de ce moment et quel souvenir en gardes-tu ?
George. Non. Nous faisons beaucoup de show et je ne me souviens pas particulièrement de ce concert. C'est le cas de la plupart des shows sauf s'il se passe quelque chose de particulier. Quelqu'un qui se prend une porte dans la tête ou un truc de fou. C'est complètement embué dans mon esprit, je suis navré. Des amis de trente ans me demandent si je me souviens d'eux. Alors imagine un peu.

MI. Comment s'est déroulée cette tournée avec AC/DC ?
George. Tu réalises. Comment peut-on se plaindre de jouer avec ces gars-là en première partie. C'était magnifique de jouer avec eux. Au début en tant que groupe faisant partie de DOKKEN puis LYNCH MOB, nous avons eu la chance de faire les premières parties de nombreux groupes. Ce qui explique la raison de notre succès. Avoir joué avec tant de groupes et ouvrir pour des têtes d'affiches, exige que tu sois bon. Il faut le prouver. En effet on ne te donnera pas une autre chance. Tu n'obtiens pas tellement de soutien des groupes. C'est comme si tu es jeté en pâture aux loups. C'est ce qui nous rend plus agressif et plus fort. Et aussi nous permet de devenir un meilleur combo. C'est toujours un peu le cas actuellement car je continue à faire les premières parties de différentes formations et j'ai toujours le même sentiment. Nous sommes esclaves de ce phénomène et nous devons briser les chaines.

MI. As-tu eu de bonnes relations avec les musiciens AC/DC ?
George. Je n'ai pas eu de contact avec les membres d'AC/DC. Je me souviens d'avoir pris le petit déjeuner avec Angus. C'était sympa. Il y a une grande séparation entre les têtes d'affiches et les groupes qui ouvrent pour eux. Tu as une présentation officielle pour les rencontrer. C'est à peu près tout ce que tu obtiens de cette rencontre se résumant à ces quelques mots : "Bonjour", "Bienvenue sur la tournée", et "le lieu du concert".

MI. Il y a vingt-cinq ans sortait Wicked Sensation. As-tu prévu de faire quelque chose de particulier pour célébrer cet évènement ?
George. Nous n'avons rien de prévu réellement. Nous étions surtout concentrés sur l'enregistrement de l'album. En réalité les dates anniversaires ne signifient pas grand-chose pour nous. Nous sommes fiers et heureux de pouvoir continuer. Jouer depuis un quart de siècle de la musique pour le public. Ce sera un peu une fête privée. Nous ne sommes pas des personnes adeptes du marketing. Il faut le comprendre de cette manière. C'est une sorte de révolution plastique.

MI. Il n'y aura pas de show spécial comme par exemple jouer l'album entier sur scène ?
George. Je devrais en parler à mon manager : c'est une véritable bonne idée ! [Rires]

MI. Ton nouvel album s'intitule "Rebel". Est-ce que tu crois qu'il est toujours possible d'être un rebelle à notre époque ?
George. Je crois que c'est toujours la même chose, c'est-à-dire une bataille qui existe et demeurera. Les gens cherchent toujours le pouvoir mais cela peut être démenti. Il n'y a pas d'arguments contre.

MI. Et toi, penses-tu être un rebelle ?
George. Je ne suis pas sûr du terme rebelle. D'une certaine manière j'essaie de l'exprimer personnellement au travers de ma musique. Avec le film Shadow Nation sur lequel nous avons travaillé pendant six ans cela représente le contexte économique américain et la population. Nous avons utilisé la population américaine comme un laboratoire. Nous nous exprimons en tant que victime.

MI. Tu as d'ailleurs participé à ce film documentaire sur le génocide des indiens qui est accompagné d'un album Shadow Train. Qu'est-ce qui t'as motivé à travailler sur ce film qui parle des conditions de la population indienne aux Etats-Unis ?
George. Le film s'intitule Shadow Nation et le groupe qui joue dans le film a fait un album s'intitulant Shadow Train qui est la bande originale du film Shadow Nation. Le groupe a enregistré deux CDs et les titres de la bande annonce figurent dans le film. Cet album est sorti il y a déjà six semaines. On peut le trouver sur itunes ou sur n'importe quel autre support. Le film sort cette année. Le film est un documentaire sur les restrictions. Une vue macro-économique sur l'environnement et la justice, les aspects économiques de l'inégalité, ainsi que les travailleurs (peu importe le nombre). Les gens se reconnaissent dans une large mesure, dans l'indigence et sur ce qui se passe dans ce pays. Pas seulement par rapport aux chiffres. Les chiffres ne veulent plus rien dire maintenant. C'est plutôt un constat sur la pauvreté du nord de l'Amérique. Ce phénomène qui dure depuis cent ans continue de se produire. Surtout avec les sanctions économiques, le racisme et toutes ces sortes d'intimidations. Toutes ces choses non reconnues dans ces contextes historiques et tous ces indigènes qui n'ont plus lieu de subvenir à eux-mêmes sont les traits de ce film.

MI. J'ai l'impression que ce peuple été oubliés aux USA...
George. Oui c'est un des thèmes que l'on voit au premier abord, mais je crois que ce n'est pas le propos. Evidement nous continuons à voler leurs terres, d'abattre les arbres et de piller toutes leurs ressources. Ce qui est vrai. Ils ont payé le coût dans tous les paramètres sociaux et économiques, des revenus, à la santé jusqu'à l'éducation. En fait, c'est tout le système qui est décrit et il est très spécifique du capitalisme. Ce régime est très dur et provoque des crises qui touchent la population du bas. Si tu es un fabricant tu gagnes, mais comme il y en a trop peu les gens doivent payer le prix pour gagner. Il faut que les gens puissent voter. Il existe des bonnes idées et surtout meilleures. La démocratie n'a jamais trahie l'histoire de l'humanité. Quand tu imposes la démocratie, tu imposes le capitalisme. Les USA sont l'ennemi de la démocratie. Regarde un peu les guerres qui ont sanctionné ce pays. Il y des centaines de cas comme l'Irak, l'Afghanistan... C'est un crime contre l'humanité et c'est dégueulasse car tout cela résulte du fléau de l'argent. Cela a toujours été le cas et cela continue. Nous devons trouver de meilleures métriques pour nous diriger nous-mêmes au lieu de faire profiter artificiellement la croissance de l'économie. Il faudrait un système dans un pays qui mesure l'échelle du bonheur et non pas le produit intérieur brut.

MI. Comment a été réalisé ce documentaire, il vous a pris beaucoup de temps ?
George. Oui, pour la réalisation cela a duré six ans en tout. Ce n'est pas six ans du début à la fin. Ce sont des paquets de moments. Nous avons voyagé dans pas mal d'endroits. Nous avons parcourus 18000 kilomètres. Ce fut un long voyage. Nous avons campé en préparant notre propre nourriture. Parfois c'était l'hôtel. Notre budget était très limité et on devait faire les choses en tenant compte du budget. Ce fut une longue période mais courte en énergie.

MI. Comment as-tu travaillé sur le thème du film ?
George. Oui. Le film fait passer un message. La musique s'inspire du film. Ce sont des thèmes comme la justice, la loyauté, et le fait de prendre soin les uns des autres au lieu d'être toujours cloitrer dans l'individualisme. Etre complètement opposé à l'idéologie de ses propres intérêts et de l'avidité. La musique reflète bien cela dans la manière de penser : c'est un fait musical. C'est un niveau plus élevé et plus profond musicalement que simplement de jouer de la musique cool [Rires] ... Le premier cd est plus dans la lignée de ce que nous enregistrons habituellement. Le second cd est un préquel sur ce que nous sommes devenus si on peut dire pour définir ce que nous sommes. Il est plus expérimental et il y a des chansons éclectiques : une chanson sonne comme DEEP PURPLE, l'autre sonne comme Lenny Kravitz. Il y a des chansons électroniques et des chansons parlées. Un peu tous les styles.

MI. Tu viens de sortir consécutivement deux opus Rebel et Shadowtrain, est-il toujours facile d'écrire des morceaux après tant d'années dans la musique ?
George. Je ne dirais pas facile mais je suis arrivé à un point de ma vie, ou l'habileté pour écrire des compositions est plus facile. Lorsque que j'avais seize ou dix-sept ans c'était un véritable défi car personne ne te disait comment faire. Tu apprends tout seul. Tu fais plein de concert, tu enregistres et tu écris. Tu t'améliores d'années en années. Tu peux suivre l'évolution de DOKKEN à Wicked Sensation par rapport à nos albums. Je peux dire que durant ces deux décennies je n'ai pas eu l'angoisse de la feuille blanche pour écrire les titres. Jamais. Quand ça arrive c'est très rare. En règle générale les idées s'agitent. Je ne sais pas pourquoi mais j'en suis très reconnaissant [Rires] ... Pour ces 3 Cds du projet nous ne nous sommes pas posé la question de savoir qui était à la production ou les appeler pour jouer ou répéter à la guitare les morceaux. Nous avons écrit nos chansons sur une table et nous les avons jouées et montées en studio pendant dix jours. Nous avons commencé à jouer ce qui répond à ta question. Quand nous devons enregistrer et que nous avons les chansons nous sommes présents. Nous travaillons bien sûr.

MI. Tu as composé énormément d'album solo (Treize au total) et tu as aussi participé à un album tribute à SCORPIONS : Scorpion Tales. Est-ce un hommage à cette formation légendaire ?
George. C'était des grands. J'ai été approché par une compagnie pour enregistrer le disque. C'est quelque chose d'intéressant mais c'est surtout pour le coté business de la musique. C'est une occasion de le faire. C'est ce que je fais pour vivre de mon travail. Il y a onze chansons et c'est comme être dans un studio.

MI. Dans les années 80 énormément de groupes étaient connues et avaient du succès notamment grâce MTV. Est-ce plus difficile maintenant pour les musiciens de vivre de leur musique ?
George. Dans les années 80, il y avait un groupe lié avec une maison de disque : c'était assez prévisible. Il y avait un temps pour écrire, pour enregistrer et après faire la tournée. Ensuite, tu prenais tes congés et tous les ans c'était la même chose. C'était très prévisible. De nos jours, je dois être en mesure de faire pleins de projets différents et de pouvoir jouer en tant que musicien et ne pas me limiter à l'acquisition de guitares. J'enregistre des morceaux de guitares en dehors de mes projets, et je fais des films documentaires. C'est pourquoi j'ai besoin de me diversifier car cela rend la vie beaucoup plus intéressante. Nous jouons avec plein de musiciens de styles différents, dans les environnements studio qui te permet d'apprendre encore et encore et de faire marcher mon cerveau. On a enregistré un morceau avec un nouveau groupe qui s'appelle THE INFIDELS. C'est véritablement un nouveau disque pour moi et je dois m'attacher sur ce à quoi je ne suis pas bon. Il y a différents types de musique et dans ce registre je n'ai pas toutes les compétences et la dextérité requise dans ce domaine. Tu dois t'adapter très vite. Le côté technique est fun aussi.

MI. Tu es très ouvert en tant que musicien. Tu as notamment travaillé sur un projet de Metal Indus qui se situe musicalement entre MINISTRY et PRODIGY.
George. Ce projet est un projet quasi industriel. Je travaille actuellement sur UNIMOG. Cet album est terminé depuis un an en ce qui concerne la musique mais nous avons du mal à trouver le bon chanteur. C'est un défi et j'espère qu'il sera terminé cette année ou l'année prochaine. Comme je te l'ai dit l'album est presque fini et je pense que c'est l'opus le plus fourni que j'ai réalisé de toute ma vie. C'est quelque chose qui est en dehors de mon périmètre mais il y a tellement de volonté et de santé dans cette musique. Le produit est bon et me transcende.

MI. En 1982 et en 1999, tu as failli devenir le nouveau guitariste d'OZZY OZBOURNE ! Quel souvenir gardes-tu de ces expériences ?
George. En fait, j'ai postulé trois fois mais je ne me souviens pas de ces périodes. La fois où ce fut très sérieux c'est quand Brad Gillis a quitté le groupe. Je devais être la personne qui devait le remplacer mais ils en ont pris une autre. J'étais impliqué dans le groupe car on avait répété ensemble à Los Angeles et au Texas.

MI. Je crois que tu as accompagné OZZY en tournée mais sans monter sur scène !
George. Non ils voulaient voir Brad joué avec moi. Ils voulaient le voir jouer pour trouver la bonne personne. Le problème qu'il avait avec moi c'était mes cheveux naturels. Ozzy m'a demandé si il y a avait un problème à ce que je coupe mes cheveux.

MI. Est-ce que tu viendras à Paris bientôt ?
George. Je ne peux pas te le dire. Nous avons un agent qui s'occupe de notre tournée européenne. Nous en avons fait une l'été dernier qui était planifiée. Nous avons dû l'enlever à causes de problèmes financiers car il aurait été difficile de faire cette tournée. J'ai soixante et un ans et je n'aurai pas voulu faire cette tournée seul dans un van avec le groupe. Ce n'était pas rentable au niveau économique. C'est dommage car nous avons fait le Hellfest, et les premières parties de TESLA ce qui nous a donné du crédit dans la presse. Nous réfléchissons à la manière de pouvoir retourner en France pour avoir du fun.

MI. Merci pour l'interview et en espérant te revoir bientôt en France.
George. Merci infiniment. Et on te tient au courant si on joue en France.


Ajouté :  Mardi 17 Mai 2016
Intervieweur :  The Veteran Outlaw
Lien en relation:  Lynch Mob Website
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