CRONIAN (se) - Enterprise (2008)
Label : Indie Recordings / Season of Mist
Sortie du Scud : 27 octobre 2008
Pays : Suède
Genre : Progressive Melancolic Metal
Type : Album
Playtime : 9 Titres - 49 Mins
Aujourd’hui dans la grande braderie du Metal Moderne, je vous propose le petit jeu du « Devine oùkilé ? ».
Alors de ce pas dans ma chronique je vais cacher tous les titres de l’album sus-cité en référence, et toi, public, tu devras tout retrouver. Et pour les plus forts d’entre vous je mettrai aussi quelques références stylistiques.
A toi de jouer, Public :
« Spok à Inter ! »
A bord de l’Enterprise personne ne répond et même Houston-on-a-un-problème ne semble pas considérer cet appel de détresse comme étant sérieux. Probablement trop afférés qu’ils sont à jouer aux jeux d’Arcade qu’ils viennent tout juste d’installer dans leur nouvelle antre. D’autres encore préfèrent surveiller ceux qu’ils considèrent comme les cieux diamants avec cette nouvelle voie lactée découverte il y a maintenant 5 ans de cela.
Les sons de borne vidéo se mélangent aux sonorités de piou-piou émanant des enceintes et le grand cirque filmographique aux mélanges de voix criées et chantées ne troublent en aucun cas les équipiers stellaires.
Bien que le projet hibernation revêtu une grande importance en son temps personne ne semble plus y apporter le moindre regard. Pourtant le premier voyage sur Terra avait suscité une certaine obédience, bien que le chef de projet Century Media ait décidé de jeter l’éponge après ce premier lancement.
Les neuf vagues successives en disent long sur l’endurance qu’il faudra montrer devant les quarante-neuf minutes de vacation interminable. Et ce, pourtant, panorama mouvant que l’on nous avait promis se transforme en longue complainte sans fin et sans mouvement.
Aucune rencontre ne peut sauver qui que ce soit de la déportation imminente qui l’attend. Et c’est bien devant le troisième volet de la série B « V » que nous nous retrouvons. Nous aurions du nous en douter. Se cacher derrière un tel pseudonyme ne pouvait rien donner de bon, et Mister V s’en retourne avec ses monstres verts intergalactiques.
Morne plaine et turpitude, que long est le silence qui me mène jusqu’à toi !
Et si le résultat du jeu est plus qu’incertain c’est probablement parce que ma chronique n’a ni queue ni tête.
Comme ce disque d’ailleurs !!!
Ajouté : Lundi 27 Octobre 2008 Chroniqueur : Oncle Machin Score : Lien en relation: Cronian Website Hits: 11721
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