L’ultime peut il connaître des limites ? Est-ce à reconnaître que l’infini doit un jour trouver une fin ? Impossible me direz vous, et vous avez raison. Cela dit, une fois atteint un certain degré dans la progression, il faut bien avouer qu’il n’y a rien qui ressemble plus à un trou noir qu’un autre trou noir.
Et en fait de trou noir, si nous nous intéressions au trou de balle justement ? Cet inconnu qui pourtant nous facilite ou au contraire nous complique la vie assez régulièrement. Il faudra bien qu’un jour un philosophe ou un scientifique de renom s’intéresse à la symbolique du caca. Pas le stade anal si cher à FREUD, non, le vrai caca, celui qui pue, qui est régulièrement accompagné de pets rendant pour quelques secondes la vie moins triste.
En parlant de pets et autres flatulences si gênantes aux heures de réunion, ou pendant les repas huppés, DEOAG, comme vous me permettrez de les appeler, en est une bonne. Soyons populaires, et admettons que ce groupe n’est rien d’autre qu’une grosse perlouse dans ta face.
C’est immonde, bref, mais qu’est ce que c’est bon ! Et que celui qui n’a jamais pété à la tronche d’un proche me jette le premier balai à chiotte !
Non, on a déjà entendu ça cent fois, mais la sauce, si je puis me permettre l’expression, prend encore. Alors oui, SUBLIME CADAVERIC DECOMPOSITION, CARCASS, ULTRA VOMIT, ou encore GORE BEYOND NECROPSY l’ont fait avant eux, mais on s’en branle.
Le son est épais comme une colique de printemps, le chant râpeux comme une grappe d’hémorroïdes, et le rythme effréné comme la vitesse du caca le long du rectum.
En plus, si vous êtes festifs, ne mettez pas de papier au fond de la cuvette, pour l’amour du plouf qui détend les zygomatiques.
Allez les gars, ne faites pas les finauds, vous aussi les coussins péteurs ça vous fait marrer.
Oh putain, encore ce con de chien qui a largué….